La nuit polaire, c’est long au Groenland, très long !
Dans le froid, le noir, la solitude, quand la notion de temps ne veut plus rien dire, on fait fondre l’ennui à grands coups de racontars et d’alcool maison.
C’est rude, rugueux même, mais c’est aussi tendre, pudique, poétique, malicieux, parfois tragique et comique et tellement humain finalement !
Rendez-vous sur la banquise, je vous attends, impatient. Bon, vous ne pouvez pas me rater, j’ai un grand manteau blanc en peau d’ours.
Eddy Letexier